Auteur : Meelily
Date de création : 15-03-2009
Chapitre VI : La découverte.
« - Peter ! A droite vite ! Il s’en va !!!
- J’arrive ! A la saleté va … TRISTAN, ATTENTION !
- WHOOOOo … SPASH ! »
Peter et Tristan étaient en train de chasser et la journée était sublime pour cette activité, malheureusement, ils étaient partis pour revenir à l’école bredouille …
« - Non mais c’est pas vrai ! Hurla Peter au bord de la crise de nerf. Par le sang de Dragon ! TRISTAN, quand feras tu attention ?! QUAND ?!
Désolé … Murmura Tristan terrifier par la colère de son coéquipier.
DESOLE ?! Ca fait 3 FOIS ! Et dans la même matinée ! ……. Avoir une poisse pareil … Comment tu fais ?! …….. Un cerf jaune en plus …. Qu’est ce que vont dire les autres ? Pour quoi on va passer ?! ….. Je ne peux pas le croire …. »
Peter continua comme cela pendant un long quart d’heure, jusqu'à ce que Tristan ragoûte une seconde couche à son malheur :
« C’est que … je ne le fait pas exprès, je sais pas comment je fait … j’avais perdu mon carquois …
Ton carquois ?! Tu … tu as perdu ton carquois ?! EN PLUS ?! Comme si ça suffisait pas … Tu sais quoi Tristan ? Je … »
Peter s’interrompit, Tristan le regardait avec tellement de tristesse qu’il en eu pitié, c’était l’une des rares personnes qui avaient le dont de pouvoir faire naître chez lui un tel sentiment :
« Bon, allez c’est pas grave … ne t’en fait pas mon vieux … on repart ! Je n’accepterais pas de revenir bredouille ! Tu auras pour rôle de repérer un beau cerf jaune ! Puisse que tu ne peux plus tirer des flèches … « Ce qui n’est pas plus mal ! » pensa t’il malgré lui. JAUNE ! Pas les autres … ils sont banals ! Tu as tout compris ?
Oui ! J’ai touuuut compris ! Assura t’il en hochant la tête affirmativement.
Très bien, alors allons y ! Lâcha Peter en essayant de prendre un ton dégagé. »
Peter s’engagea dans les fourrés, il épia les alentours d’un œil d’expert. Il s’enfonça alors plus profondément dans la foret. Ce fut au bout d’une demi heure qu’un claquement sec se fit entendre : Un superbe cerf doré s’exhibât. Insouciant, il broutait l’herbe fraîche, ne faisant preuve d’aucune vigilance. Derrière un superbe chêne, Peter encochât une flèche. Le sourire aux lèvres, il songea :
- « Les uns, dévorent les autres, ainsi va le monde ! Pourquoi rejeter l’ordre des choses ? Maître Ethan encors une fois raison ! »
Il tira sur la corde de son arc sur laquelle sa plus puissante flèche était encochée, quand soudain …
« PETER! WAOOo… BEN CA ALORS ! »
Le cerf se dressa de toute sa hauteur, et tournât sa magnifique tête dans la direction de la voix de Tristan, Peter tremblant, tenta de changer la trajectoire de sa flèche, mais à son plus grand désespoir, il sortit de son champ de vison. Il tentât le tout pour le tout : Il sortit de sa cachette, mais un imprévus s’imposât : Tristan arriva avant lui à sa droite gaie comme un pinson ! La proie de Peter prit la fuite dans un galop effréné ! Ce dernier restât là, idiot, son arc toujours tendu, ne sachant comment réagir. Tristan nullement gêné, pris son ami par le bas et l’entraînât dans les profondeurs de la foret en courant plus vite qu’il avait put le montrer à Peter jusqu'à présent !
« C’est merveilleux ! Souffla Tristan toujours en courant. Ha oui … désolé pour le cerf, mais là … c’est différent ! Tu vas adorer ! »
Peter ignora le temps qu’ils passèrent à courir, 5 min ? 30 min ? 1 h ? Il n’avait plus la notion du temps, une chose était certaine pour lui : Pour la quatrième fois ce lundi matin, Tristan lui avait fait perdre sa proie, et si il n’avait pas de raison valable pour avoir commis un tel crime, sa prochaine cible serais très certainement lui ! Malgré sa colère froide et son état seconds, il ne put s’empêcher de remarquer que la végétation se faisait de moins en moins danse et de couleur noircie, comme si il avait eu un feu la veille … une odeur âcre régné aprèsent. Tristan s’arrêtât brusquement, il se tournât vers Peter les yeux brillant d’excitation :
« Ho ! Ferme les yeux mon ami ! C’est une surprise ! Aller, dépêche toi ! » Lança t’il joyeusement.
Peter ne voyait tout d’abord pas, comment un endroit aussi lugubre pouvait le rendre aussi heureux ! Ensuite, jusqu'à présent personne de son âge ne c’était permis de lui donner des ordres directs, et vue les circonstances actuelles, Tristan était la dernière personnes à pouvoir se permettre se genre de choses sur lui ! Il lui lança donc un regard glacial qui le remit aussitôt à sa place !
« Bon ok, j’avoue que … que ça peut te paraître fou ce que je vais te demander mais … fait moi juste un peut confiance ! »
Peter pris une profonde inspiration et enfin :
« Bon, il faut un début à tout … je ferme les yeux. Lâcha t’il en levant les yeux aux ciel d’un air désespéré. »
Tristan le pris à nouveau par le et le tiras en avant de plusieurs mètre, puis, frémissant d’excitation il cria presque :
« C’est bon ! »
Lorsqu’il ouvris les yeux, Peter ne compris tout d’abords pas la raison de son comportement, se ne fut que lorsqu’il regarda au sol qu’il compris, qu’il vit ce qui jusqu'à présent ce qu’il avait presque méprisé : Des filles !
L’une était brune, les cheveux noirs d’ébène, l’autre était blonde aux reflets argentés, elles étaient étendues au sol inconscientes et couverte d’égratignures, leurs ailes étaient ouvertes, la première avais des ailes …
Sa surprise s’exprima par un grognement roc, c’était les mêmes que celles de Tristan.
« C’est ton idéal ! Souffla t’il.
Oui, c’est ma chère Maria, mais regarde un peut l’autre … »
Peter fit un brusque mouvement de recul.
« Non ! Pas maintenant, c’est trop tôt !
David à une longueur d’avance sur toi … si tu n’étais pas parti le jour de la rencontre, peut être l’aurais tu …
Non, tu sais bien que je n’ai pas le droit, si je lui avoue la vérité, mon père et Mr Sombral me réprimanderont sévèrement ! Le choc d’avoir deux idéaux à la fois peut lui faire perdre la raison et l’éloigné de ses études, son cœur vas être briser, c’est pour cette raison que l’on lui diras l’année prochaine lors de la grande épreuve car nous n’aurons plus le choix : Cette épreuve se fait avec son idéal, je ferais la deuxième partis à ses côtés. J’ai choisi d’attendre pour pouvoir l’observé, mais je sens que ce ne seras pas facile de …. Enfin …Comment s’appelle t’elle ?
Tu es si idiot parfois … elle s’appelle Chrystal … Dausson je croie, que fait tu ? »
Peter ne répondit pas, il eu un sourire fataliste, et s’agenouilla pour mieux la contemplée.
« Tu m’a l’air aussi fragile que ton nom jeune imprudente … que fait tu ainsi dans ces bois … ? Que t’es t’il arriver … ? Demanda t’il a peine audible.
Maria m’a dit qu’elle était gentille mais qu’elle détesté qu’on lui mente, elle est fière et a un caractère bien trempé ! C’est elle qui a défier Mr Sombral et sa Directrice lors de la première rencontre, tu as dut en entendre parler non ?
Oui, en effet, je … je ne pensais pas qu’une fille pouvait avoir un tel culot !
Si, du moins elle, elle en as ! Assura Tristan en riant.
Et ton idéal ?
Maria est la fille la plus fantastique de l’univers pour moi, elle sera capable de supportée toutes mes maladresses, elle est vraiment très gentille !
Je n’en doute pas une seule seconde ! « La pauvre » Soupira t’il en lui.
Peter se redressa, et épia les alentours d’un air solennel, une brume obscurcissait les alentours et il dut légèrement s’éloigner pour distinguer …
« Au nom des elfes noir ! Regarde moi ça Tristan, elles n’ont plus de forêt ni d’école ! »
Effectivement, au loin il n’y avait … rien.
« Ces filles ne sont pas là par hasard ! Il s’est passer quelque chose ! Dit Tristan les yeux écarquiller.
Oui, tu as raison, Je pense que les Fées de la Nuit on mis en pratique leur menaces, Mme Glacia ne les as pas pris au sérieux … il faut que nous les sortions de cet endroits et que nous les emmenions à l’infirmerie ! On va s’éclipser * ! Dit Peter assuré.
Tu es génial ! Je suis vraiment fière d’être ton ami ! » Dit l’autre surexcité.
Peter entreprit de porter Chrystal, mais soudain il se ravisa :
« Tristan, sais tu au moins t’éclipser ? »
Tristan ne répondit pas de suite :
« Ben oui bien sûr vieux frère ! Pour qui tu me prends ?! » Ria t’il.
Peter lui lança un regard perçant puis dit d’une voix glacial :
« Tristan, Maria est ton idéal, je t’avertis qu’à son retour si il lui manque la moindre partie de son corps … c’est elle qui se chargera de ton cas après moi ! Ce n’est pas un jeu ! Me suis-je bien fait comprendre ?
Ou-oui … b-bien … sûre ! Assura t’il en hochant obstinément la tête.
Très bien … je t’aurais prévenu. Prends Maria, je prends … Chrystal, à trois nous nous éclipserons ensembles à l’infirmerie, d’accords ?
Oui ! Je suis prêt !
O.K ! Un … »
Peter jeta un regard inquiet à la pauvre Maria inconsciente …
Deux …
Peter ferma les yeux et sera encors plus fort Chrystal contre lui …
TROIS !
Ils partirent dans un tourbillon de couleurs …
Peter fut le premier à arriver dans l’infirmerie, il déposa doucement Chrystal sur le premier lit qu’il vit. Puis seul, il pris le temps de la contemplé …
« Alors c’est toi mon idéal … ? Si tu s’avais à quel point tu allais souffrir … à cause de nous deux … même si je n’en ai pas envies, je n’ai pas le choix, j’espère que tu ne m’en voudras pas … enfin, la vie en a décider ainsi, je n’y peut rien … »
Il se tut un moment et passa ses mains dans les cheveux, l’air désorienté, enfin il repris pour lui-même d’un ton tout autre :
« Mais que fait t’il ? Il met un temps fou … Pfff … son cas est désespérant ! »
À peine eut t’il fini sa phase que Tristan apparut Maria dans les bras, l’air satisfait :
« Ha-ha ! J’ai réussi ! J’ai en plus l’impression qu’elle est devenue plus légère, je suis vraiment doué ! »
Tristan s’interrompit soudain, Peter avait une expression terrifiée … qui se transforma en pluie d’étincelles menaçantes !
« Qu’a tu Peter, il y a un problème ? » Demanda Tristan soudain méfiant.
Pour Peter c’était le comble, les étincelles se transformèrent bientôt en un trait électrique continu touchant le sol, il avança d’un pas menaçant en parlant d’un ton haché :
« Ce qu’il y a ? Tu me demandes … ce qu’il y a ? … Tu te moque de moi j’espère ? Tristan, REGARDE TOI, REGARDE LA ! »
Tristan baissa lentement les yeux sur le corps inerte de Maria … ou du moins, ce qui en resté ... C'est-à-dire la moitié !
« Ho ! Mince, mince, mince …
Oui Tristan Bench … mince ! Grinça Peter en avançant menaçant. Pose là immédiatement sur le lit, bouse de dragon ! »
Tristan obéie avec précipitation puis se tournât vers son meilleur ami en attendant de nouvelles instructions ou réprimandes. À sa grande surprise Peter ne se prononça pas, en fait il réfléchissait à grande vitesse, très grande vitesse même ! Tristan ouvrit la bouche pour s’exprimer mais il le coupa net :
« Non ! Tais toi, ne t’excuse pas ou je t’en colle une ! Compris ?
Ou-oui ! Répondit l’autre terrorisé par les filets électriques qui le menaçait tout en s’épaississant.
Très bien … très bien … nous sommes dans une situation vraiment stupide, une situation qui heureusement a une solution. Je vais pendre le corps de Maria et retourner là d’où nous venons, avec un peut de chance ma mémoire visuel seras assez bonne pour que je puisse le trouver du premier coup, sont corps se reconstituera sans problème, le seul ennuie c’est le temps … et Chrystal ! Si elle se réveille, elle vas chercher partout Maria … Je dois faire vite, pour en plus rajouter la couche, si Mr Morfin entre il te verras avec et …
Il me verra avec ? Ca veux dire quoi ça ? Demanda Tristan visiblement choquer.
Ca veux dire que tu vas resté ici avec Chrystal pour surveiller son réveille, et au pire si l’infirmier entre, tu lui expliqueras la situation en précisant que je dois évité les contacts conscient avec Chrystal donc, tu ne parleras pas de moi !
C’est facile comme ça ! Cria Tristan outré. Je me tape le sale boulot et toi … »
Il éclair fracassa le sol, brisant peut après le carrelage silencieusement. Tristan retint un cri de stupeur, Peter grinça froidement :
« Rectification : Je me tape ton sale boulot ! Est t’il nécessaire de rappeler que c’est par ta faute que nous sommes dans cette situation ?
No-non ç-ça ira ! Assura Tristan.
Bien ! Je disais … oui, je prends Maria avec moi, je règle cette situation embarrassante et toi tu surveilles mon idéal ! Ok ?
Ok ! Confirma Tristan.
J’y vais alors ! »
Peter pris Maria (Ou plutôt sa moitié) dans ses bas et entrepris de s’éclipser. Avant de partir il se retournât vers Tristan et avertit d’un ton glacial tout en désignant Chrystal inconsciente :
« Et ne la touche pas !
Ou-oui ! »
Peter partit dans un bruit de métal avec Maria.
Tristan, lui se contenta d’observé les alentours, et contemplé le jardin de l’école par la fenêtre. Au bout de 30 min, il commença à se faire du souci …
« Mais qu’est ce que j’ai fait … c’est ma faute, j’espère seulement qu’il ne leurs est rien arriver et que … tien ? Du bruit ? Ca doit être … Raaaa non, elle se réveille je crois ! »
Effectivement Chrystal gesticulé et grogné dans son sommeille, mais ne se réveilla pas …
« Pour l’instant ! Gémis Tristan pour lui. Mais que fait tu Peter …? »
Peter arriva quelques minutes plus tard alors que Tristan faisait les cent pas autour du lit de Chrystal, avec cette fois une Maria entière qu’il déposa sur le lit voisin à celui de son amie. Dès son arrivé Tristan courus vers lui, malheureusement encors une fois il ne fut pas des plus audacieux : En courant il tribuchat à cause du pied du lit de Chrystal … celle-ci s’anima aussitôt, son réveille était une question de secondes ! Pour se rattraper il contacta Peter par télépathie :
« Tu n’es qu’un idiot ! Se permis d’hurler Peter dans l’esprit de Tristan.
Je sais ! Gémis celui-ci. Que fait t’on ?
Il faut se cacher, elle va se réveillée ! S’empressât de répondre Peter.
Oui mais où ?
Ce rideau là bas fera l’affaire ! »
Il se cachèrent à l’endroit indiquer par Peter, tout deux retenant leur souffle.
« Espérons pour toi Tristan qu’elles ne nous remarquerons pas … » Pensa désespérément Peter.
Fin du chapitre VI. Suite dans : VII. L’école Glaive par Arc.