VEF Blog

Titre du blog : Le Blog à Meelily ! =)
Auteur : Meelily
Date de création : 15-03-2009
 
posté le 20-10-2010 à 15:36:38

Arrivée chez mon frère : La désilusion.

Enfin j’allais avoir une famille, mon frère me voulait près de lui me promettait un travail, un toit, des gens pleins d’intention qui m’aimais bref le rêve que je n’avais pas vécus.  Je bosserais tout les matin en fromagerie pour faire les marchés le week et mon salaire je le mettrais de coter pour économiser (Etudes + permis) et me faire plaisir ! A ça changerais du foyer ! Je donnerais une partie de ce salaire pour la bouffe (200 euro il m’avait dis) histoire de participer à la maison. (Plus divers tache comme garder parfois les enfants)

 

J’étais triste de quitter mes amis et surtout Vivien mais mon frère nous assura que ce serais pas un problème je pourrais le voir environs tout les mois et que Vivien pourrait également venir me voir sur place !

 

Je pensais vraiment trouver le bonheur ... me sortir de mes problèmes débiles, nous geekiquerions tout les deux et je me disais que je pourrais même économiser pour nous faire un jour un foyer merveilleux quand il aurait fini ses études ...

 

 Après ma séparation douloureuse avec mon Doowdow, je fis mon retour sur ma terre natal : Le Loiret ! (45 ^^)

 

Là ou j’avais tout mes bon souvenir d’enfance dont ma forêt ! ^^

(Mon frère habitait tout près de la ou j’étais petite)

J’étais très enthousiasme ça oui alors !

 

Mais je me doutais pas alors que j’allais vite comprendre le sens du mot désillusion  … 

 

En effet allons y franco : Pas tip top, mes neveux, de vrai pourrie grattés ... et sur les 3 seul la dernière "Emma" (2 ans) me donnait envie d'être gentille. Les deux autres se chamaillait tout le temps, et se montraient réellement méchant avec Emma voir dangereux par pur jalousie.  

Education = 0 > jamais merci, intenable à table, j'en fou pas une, mes parents sont mes esclaves, chez les autres je me serre sans gène, menteur bref ... voilà les neveux. Et pour la mère j'étais une bonne bonniche/nounou -_-

 

Mon frère m’installa dans la chambre de Maxime sans demander son avis (super pour le gosse) et bientôt je constata que m’a venus étaient loin d’être la bienvenue ni même attendus en fait. ._.

Ainsi dès mon premier repas j’us le droit à cela : « T’a pas de maison ? Tu vas rester longtemps ici ? Quoi tu habites ici ? Mais pourquoi tu vis pas chez t’es parents ?" (Vive l'acceuil)

 

Je n’en voulais pas aux enfant mais plutôt à mon frère qui n’avait même pas prix la peine d’expliquer à ses enfant qui j’étais seulement : leur tante. (Je les avais pourtant vus l’été dernier …)  

 

Bientôt il fallut les garder … ho madone ! Forcément la mère ça l’arrangeait (2 jours de nourrice en moins, donc quand je bossais pas je les gardais) et je devais les emmener à l’école.Leur faire le repas, la cuisine (pour des gamins obèses en plus ... YEAH.)

 

Bref ... comme je l’ai dis précédemment le problème principal résidait pas dans le fait que finalement on me laissait pas de temps pour moi mais plus plutôt qu’ils étaient très mal élevés et que je passais mon temps à crier dessus … Aussi ma belle sœur avait l’art de m’imposer cela comme un dut et je me sentis un peut mit au rang de boniche à tout faire plutôt que « membre de la famille » 

 

Pour dire comme c’était un plaisir de garder les 3 en même temps,  les voisins m’ont demander 2 fois comment je faisais pour les garder, et la nourrisse aussi ... Lol ?

Bha c'est simple à la fin je ne les gardais plus. Car ses sale gosses en plus de me mener des matinée infernal, m’accusais de tout chez eux : Casser des objet , ou encors vider la bouffe. Après la mère pleurait à mon frère qui m'enguelais. (Il avait carrément dit devant ses gosses que j'étais boullimique.)

 

N'étant pas leur mère, je ne pouvais les éduquer, ni les punir il faisait donc se qu’ils voulaient car une fois leur mère rentrée ils plaignaient si j'avais eus le malheur de protester à quoi que ce soit.

Ma belle sœur me sachant boulimique les croyaient évidement ... (Les gamins de 8 et 7 ans étaient obèse et leur poids étais supérieur au mien, je fait 50 kg à la base soit dis en passant …) ça l'arrangaient hein ! =/

 

(En plus le pire c'est qu'elle était grosse comme une truie cette pouffiasse) 

 

 

Etant donner que je n'y était pour rien, je me suis mise alors à acheter ma propre nourriture (gouter, gateaux et boissons) car justement je voulais pas de problème. (Et encors Mathide volait dans ma chambre cet grosse truie ...)

 

 

Vivien entendait tout sur « mumble » car j’était en « msn vocal » avec lui pour pas que les matinée de garde, parfois les aprèm ou les soirées soit trop longue, (Ce qui devint rare car mon frère me demandais en permanence de passer tout mon temps avec lui) je lui racontais tout ou presque parce j'étais blasé ... et je venais pour entendre mon Doowdow

 

c’était notre meilleur moyens de communiquer tout en jouant à Aion (2.0 !), je m’évadais dès que je pouvais avec lui sur le jeu faute de le pas le voir en vrai pour le moment … il hallucinait d’entendre leur comportement et la façon dont ma belle sœur s’adressais à moi.

Je n'avais pas le temps de pex, il jouait sans moi, ses parents aussi ... j'étais vraiment triste mais je comprennais que Vivien veille jouer sans moi, il y avait une nouvelle MAJ et il était tellement content ! Plutôt que le salouer, je parlais mais que des gros évenements, et j'évitais de dire "j'ai pas pex parce mes neuveux veulent casser mon PC"

 

J’ai ainsi vite compris que la femme de mon frère ne m’aimais pas plus que ses enfants ... et bienvenue n'était pas apperement dans leur vocabulaire ! ^^"

 

D’ailleurs en avait elle un ? On aurait dit une grosse vache qui ruminait tout le temps, elle parlait très peut ...

 

En fait j’en sais rien, tout se que je sais c’est que comme ses enfants elle ne me disais jamais merci pour quoi que se soit.Je pense qu'elle souffrait mais bon ... à l'heure actuelle je m'en tape la touffe. %)

 

Je travaillais avec elle 5 heures dans la même pièce (pour faire les fromages) et elle ne dénier m’adresser la parole que pour me donner des instructions (4 ou 5 fois au début puis 0 de la matinée dès que je sus bosser seule. Pas trop compliqué, c'était du travail à la chaine)

 

Super motivant vous me direz, passionant même ... je faisais le même boulot tout les jours, les même geste et dans le même silence aussi.

On peut facilement rêver mieux, mais je me suis dis que c'était bien dans la mesure ou je pourrais mettre de côter

Quand à son silence je le mettais sur le compte de la "concentration d'une abrutie" pour pas trop déprimer.

 

Sauf que ce silence et ses comportement "de merde" s'arrêtaient pas là.

Dire bonjour le matin était aussi apparemment difficile, un bonjour de loin pas plus, marmoner c'était mieux déjà qu'un signe de tête ... mais bon "on est pas tous jovial le matin" je me suis dis. ^^"

 

Je sentais qu’elle ne m’aimait pas, qu'elle ne m'aimerait jamais ... et c’était très dur mais je ne perdis pas espoir de suite : Je me mit aux corvées ménagère sous les conseils de mon frère (jamais bien faites pour elle, je suis pas super douée mais bon ... y a des limites) et parfois  à la cuisine.

 

Timidement on va dire ... parce que normalement j'adore cuisiner.

Là c'était l'enfer.

J'osais rien toucher de peur qu'on trouve un truc à dire, comme le faite que je mettais trop de crème fraiche ou d'huile d'olive. ^^"

(LOL Je cuisinais comme j'avais vus la mère le faire et une fois je lui ai carrément dis que l'huile d'olive ça enlevais la cellulite du cul, elle a pas trop aimé mdr)

 

Sa cuisine se composais de pizzas et autre truc tout prêt bien plus gras pour sa famille de porc ... mais bref ... passons lol ! (Pauvre gosses)

 

Ce fut le dernier point la cuisine donc, qui clôtura tout mes effort pour continuer de penser que c’était juste son caractère d'être insatifaite de nature. C'était juste une grosse connasse ! *-*

 

En effet chaque plat que je faisais, elle préférait manger un bidule qu’elle faisait elle-même, elle ne prennait même pas la peine de gouter ce que je faisais dans le but de la soulager en temps que maman.

Un soir elle fit même un scandale à mon frère parce j’avais faire des pâte à la carbonara à ses enfant plutôt que se qu’il y avait dans le congélateur. Ok message reçus : Laissons Madame la truie regner dans son monde de gras ! ~

 

A ce stade je me demandais franchement si au moins elle respectait mes effort.Il semblait que non alors j'ai encors changer de comportement par la suite ... (Vous me direz que j'étais une conne de pas l'avoir vus avant, mais j'avais juste besoin d'Amour. Vivien était si loint, et ses parents m'aimaient pas plus, je le sentais bien)

 

Conclusion : mon frère m’avait imposer chez lui sans songer à demander l’avis de sa famille qui était celui là : "Qu'elle dégage". Alors la famille qui m’aime : Zéro. M'en rendre compte fut bien blessant je me suis sentis aussi rejeter qu'humilliée ... Vivien m'avait pourtant prévenue. Plutôt que me plaindre je me suis tut. Je lui ai mentis oui, mais il avait 19 ans, et ma vie de merde était mon problème avant le siens, même si il m'aimait.

 

----------------------------------

 

Etant donner que pour ma belle sœur tout étais prétexte pour me critiquer (jamais en face, elle se plaignait et mon frère me le rapportait) j’ai décider de plus rien faire : Les enfant puisque j’étais méchante elle se débrouillerait pour les faires garder (donc j'ai refusé de continuer à le faire), le reste elle faisait tout sans moi avant ? 

Et bien qu’elle continue cette pute ! En plus vus son gros cul ça lui ferait  du bien ! %)

 

Forcément ça aussi ça a fait jaser … Mon frère m'a menacé de me virer de chez lui si je gardais plus ses enfant, mais sa femme vexé refusa finalement que je continue. Tant mieux me suis je dis : Au moins j'aurais mon Doodow et je pourrais jouer à Aion ! T_T

 

Mais non : Mon frère ne l'a pas vus de cet oeil.       

 

Autre soucis majeur ... et certainement le plus gros : la demande de mon frère d'affection ... parfois trop "physique" ... de "reconnaissance" en tout genre.

Je devais être son ombre, mon temps libre était toujours bien vus que si je faisais des choses pour sa famille ou si je le passais avec lui.

 

Même mes soirée je ne pouvais pas faire ce que je voulais sans qu’il me fasse un reproche « Tu n’a pas l’esprits de famille, tu vas toujours parler à ton Vivien et nous compte pas. Ce mec il a 19 ans, il en a rien à foutre de toi, qu'est ce que tu crois ? Tu ferais franchement mieux d'en trouver un autre. Y a en a pleins a Loris, tu vaux mieux que lui ( Loris la ville où on bossait) »

 

Je bossais avec eux, l’après midi, le matin dès 5 heure du mat (enceinte en plus, mais je le savais pas) je le suivais partout même chez ses copains et dans les bistrot, je subissais leur moquerie, la drague de mec de 40 ans mes aîné, des sous entendus de merde ... et encors parler à mon copain (3 ans de relation quand même) était un crime ? Je n'en pouvais plus de la jalousie de mon frère, il me harcelait ...

 

Visiblement oui, alors il me fit culpabilisée et comme ses reproches inscessant devaient lourd, je prétexta à Vivien que j’était « lasser du jeu » pour satisfaire mon frère ...

 

En plus des après midi ... je regardais seule avec lui dans sa "garçonière" tout les dvd de film qu’il collectionnait. (parfois il me lachait les après midi, mais si je venais pas avec je subissais sa mauvaise humeur toute la journée, ses critiques etc ... j'étais bien obligée pour montrer à Vivien que je l'aimais, heureusement la nouvelle mise à jour du jeu l'occupait ... (je parlais à ma guilde, et a un ami du jeu parfois ...) mais la paix ne durait jamais longtemps, mon frère trouvait toujours un pretexte pour me faire sortir de ma chambre ...

 

Ainsi, les soir dans sa « garçonnière » ... je me devais d’être à SES côté à regarder un film différent chaque soir. (Même pas dans le fauteuil d’en face, sinon il me demandait de venir) Mais ce n’était pas cette quasi obligation de regarder un film chaque soir avec lui qui me dérangea le plus ici ou encors le fait que je pouvais pas partager mon temps avec Vivien qui me manqueait terriblement. Non.

 

C’était bien plus que cela … je vivais de plus en plus mal la présence possessive, intrusive de mon frère dans ma nouvelle vie, je pleurais de plus en plus (mes hormones aidaient pas) et je devint peut à peut une triste compagnie pour Vivien (Toujours de mauvaise humeur, triste, envie de rien) c’est pour cela qu’un jour sans doute il insista :  "Quand même je comprends pas cette façon qu'il a de soudain tout t'acheter et de te surproteger, il veux que tu soit là partout, pour tout c'est bizzard pour une personne de la famille ... bablalblala" ...

Je ne disais que "Ha mais c'est mon frère tu comprends c'est que je suis sa seule famille il jamais connue sa mère et son père ...."

 

Vivien restais septique ... j'étais terrorisé à l'idée qu'il sache tout ... je le savait très colèrique ...  en effet il ne savait rien de se que je vivais sauf le fait que ses enfants étaient mal élevés car il en était témoins par vocal. " Si y a un truc tu parleras Mélanie ? Mélanie jure moi que tu me dis tout, jure moi le ?"

"Oui oui je te le jure y a qu'avec ses enfant et sa femme que ça va moyens tu le sais ! "

 

Misère ... quand j'allais dormir enssuite je pleurais, je ne savais pas quoi faire ...

 

Pourquoi ? Pourquoi mentir ?

 

Parce c’était trop lourd, parce j’étais dans le dénis « C’est mon frère je suis sa seule famille, il me veux que du bien forcément » je me sentais emprisonner par ce statut, par le fait que pour lui je semblais tout ce qu'il lui restait du passé.

 

Je me disais que sans doute se sentait t'il si proche de moi parce que nous avions tout les deux souffert car qu'il avait dut aller également en foyer, il avait jamais connus son père biologique ... etc ... et cela expliquerait certainement qu'il m'aime autant ... trop même pour moi qui avait du mal avec les liens affectif en plus.

 

Un jour dans la voiture je lui expliqua gentillement que j'étais pas trop "caline", que c'était pas mon truc ... parce j'en avait pas tant eut que ça pour qu'il comprenne mes retissances. 

Mais alors il me rassurait "Ne t'inquiète pas ça s'apprends avec le temps je suis là pour ça mainteant"

Et moi ... j'y croyais ... qu'elle abrutie je vous jure ! -_-

 

Aussi, il m’offrait ou voulait m’offrir tout. Comme le scooter auquel j’avais dis sincèrement non mais qu’il achetât avant même mon arrivée chez lui.

Sans cesse il me répétait « Ha les autres il pas fait ça pour toi hein ? ».

 

Au final ce « Tout » m’affolait car j’avais de bonnes raisons de croire qu’il me demanderait de le lui rendre un jour, et je savais aussi que vus l’ampleur de ses gestes je ne serais pas en mesure d'assumer un telle demande.

 

J’avais raison d'avoir peur, car ce qu’il attendait de moi fut se qui parmis tout se que j’avais vecus jusque là etais le plus insoutenable et surtout cela ne faisait pas partis de mes plans. Il me demandait de l’affection, mais par n’importe laquelle ...

 

Pour résumer il me demandait de lui donner autant que ce que je réservais uniquement à Vivien (sauf acte sexuel, Dieu merci), donc massage dos nus, caresse etc. Cela tout les soir, ou en rentrant du boulot. Au départ cela m'enuiyais mes sans plus mais quand j'ai vus qu'il me le demandais regulièrement ça me génat car il me demandait cela comme un dut alors que je n'avais pas forcément envie de lui offir ces geste que je reservais à Vivien ...

 

Mais cela ne fut pas encore ici ce qui me brisa.

 

Forcément je donnais peut mais quand j'ai vus ce qui voulais me donner en retour, j'ai hurlé intérieurement : En retour de ce qui m'étais déjà très dur à donner, il me touchait les seins en regardant les films, les fesses sans me le demander, les cuisses, les reins ... et ceux malgrès que j'ai enlevé sa mains surtout de mes seins.

J'essayer d'esquiver ses moments pénible par des aller retour au toilette (ou je vomissais mon repas à cause de ma boullimie je pensais), quand je revenais je me mettais si possible au canapé à côter. Mais comme dit plus haut il me rappelait ... pour lui un "calin".

Au final il s'allongait sur moi pour que je le carresse ou ... il m'allongait sur pour que lui me caresse. J'étais terrorisé, je pouvais même plus parler dans ses moment là, j'aurais tellement voulus qu'on me sorte de là, que on me sauve, mais je pouvais juste retenir mes larmes.

 

A plusieur reprise j'ai tenter de lui faire comprendre que ça me genais sur mes seins «J'aime pas ça, j'ai les seins sensible s'il te plais ... laisses moi tranquille ." 

Mais il recommençait en me balançant joyeusement et naturellement « J’aime bien tes gougoutte ! » ou pour les fesses « Ho le beau petit cul » en rigolant.

 

Les autres endroit bien sûre me degoutait aussi (Fesses et haut de cuisse) mais j'évitais de trop protester car j'avais le droit à « Mais t’aime rien toi, faut laisser les gens te donner de l’affection … c'est pas comme que tu vas apprendre à en donner » alors figée comme une statut je dus me laissais faire, résolue en essayant de penser que c’était « normal »  ... une voix interieur en moi me disait de me battre, mais je ne pouvais pas, mon incontient hurlait, ça durait des heures pendant que sa femme et ses enfants dormait ...

 

Le bisou sur la bouche avant de me coucher était aussi très pénible pour moi même si il le faisait aussi à ses enfants, mais je n’avais même pas le droit de donner mon avis ...

Au final milles question se bousculaient dans ma tête.

Je n'avais jamais eus de famille et maintenant j'en voulais presque plus. "C'est normal ? C'est pas un peut exagérer ? Je suis normal ai je vraiment un blocage ? Je veux pas pourquoi il le respecte pas, pourquoi il se contente pas simplement des bras ou du dos si je veux pas le reste ? Il va m'en vouloir si je guele vraiment ? C'est ça un frère ?"

 

Mon père m'a abusé aussi à 6 ans en me prennant pour ma mère et du coup le moindre geste affecteux me parrait lourd.

Après avoir mit tant de temps à m'ouvrir aux autres (grâce à Vivien surtout) je me suis soudains refermée sur moi même.Je n'avais plus de coeur

Comme avec mon père je me sentais coincé et murée dans un silence et des questions qui me prennais la tête ... j'essayer de ne plus y penser. "Je suis normale."

 

Alors j'ai continuée à ne rien dire, je suis restée seule dans ce silence.

 

Le silence de la Mort.

Pardon.